Je ne sais plus quoi faire avec Partenaire, alors
Je ne sais plus quoi faire avec Partenaire, alors je laisse faire et tant pis. Jeudi il est venu discuter. Pour dire que c'était normal qu'il oublie ma soirée d'anniversaire, puisqu'il est tellement tête en l'air. Passons. Tant pis tant pis.
Dans le reste, avec mes gens de coeur, pour de vrai eux, c'était des sourires. Mon angine à moitié passé, un message de Chou-Colloc sur mon écran "sois prête pour 20:00". Un tour à la pharmacie plus tard, ma poche remplie de cachets vitaminés pour la gorge et d'anti-fièvre. Contre le miroir, c'était un essaie de toutes les couleurs, pour cacher ma peau toute pâle. Entre temps, Choub-colloc était rentrée faire une sieste, en boule sur le lit défait. Un peu avant l'heure, je l'ai réveillé avec mes doigts dans ses cheveux courts. Il a toujours un air de petit enfant quand il se lève.Un peu de courage pris, et c'était nous deux qui marchions sur les trottoirs, direction rer A, pour y retrouver l'un de ses amis, adorable. Après les présentations dans une rame bondée, il y a eu encore quelques pas à faire pour se retrouver dans le studio de télévision. Entrée presse, sourire des hôtesses et entrée sur le côté. En haut de l'escalier, le coin presse, les verres de champagne et la main de Chou entre mes omoplates. Nos rires, nos bêtises et finalement le reste, on l'a beaucoup moins bien suivi. Les discours de l'animatrice, les chansons. J'ai surtout aimé le chauffeur de salle, et les visages des musiciens. J'aime surtout les moments qu'on passe tout les deux, et les coupes de champagne qu'on boit un peu vite. En bas du balcon, le jury se baladait et les candidats discutaient, pendant les coupures pub. On est rentré un peu tard, avec la nuit bien avancée. On a prit à manger, et on a rit, mon bras accroché au sien. Y'a des nuits qui sont belles à Paris