La rentrée approche. J'ai reçue un appel, pour me

La rentrée approche. J'ai reçue un appel, pour me confirmer mon travail à l'institut. Je reprends lundi, et j'ai déjà programmé une sortie en ville avant, avec eux. Je me creuse la tête pour visualiser à quel café s'installer, un qui n'aurait pas de marche devant. J'en raye pas mal de la liste, et ça me fait toujours soupirer. Ma vieille-grande-ville se présente peut être à l'élection de capital de la culture 2013, mais elle n'est reste pas moins pleine de défauts. Notamment les marches, qui bloquent l'accès aux lieux, et m'empêche de présenter mes endroits. Alors on ira surement se poser à une terrasse, et rire des mimiques de Morgane, et des bêtises de Corentin. Avec bien entendu, les regards curieux à chaque parole, surtout celle de Morgane qu'elle ne peut dire avec sa voix. On rira surement.

Partenaire m'a encore laissé tomber. Je crois que je formule un peu trop cette phrase. Je crois que je la formule tellement que j'en suis fatiguée, de toujours devoir comprendre ses absences. De ne pas pouvoir s'entrainer, alors que les autres progressent. Et nous c'est le néant. Peu de pas depuis le début des jours d'été. Et la certitude qu'il aura de nouveau tout oublié. Désillusionnée. Même son histoire avec Petite-Blonde n'a aucun intérêt. Elle, juste ridicule et lui absolument vide. Je ne sais pas où chercher quelqu'un pour le remplacer, mais peut être que je vais écouter Lord, et essayer quand même. Tant pis pour toi, mon cher, tant pis pour toi.